Chers fidèles,
Quel que soit votre lien, qu’il soit occasionnel ou plus régulier, vous bénéficiez de la présence permanente de prêtres dédiés à cet apostolat. Cette possibilité offerte aujourd’hui à chacun d’entre vous de bénéficier de notre soutien spirituel ne peut se poursuivre que si chacun de ceux qui en sont les bénéficiaires prend à cœur d’en assurer matériellement la pérennisation. C’est pourquoi nous vous remercions de voir ce qu’il vous est possible de faire pour subvenir aux besoins de notre communauté :
Comment donner ?
– par chèque : vos chèques à l’ordre de la Fraternité Saint-Pierre. Un reçu fiscal sous sera envoyé.
– don en ligne par Carte Bleue : pour un don ponctuel ou un virement régulier :
Paiement par carte : Cliquez-ici
Le saviez-vous ?
Traditionnellement, il était d’usage lorsqu’un prêtre se déplaçait pour un Mariage, un Baptême ou un Enterrement de lui faire un don à la fois pour lui marquer la reconnaissance de la famille mais aussi pour l’indemniser des déplacements souvent coûteux et fatigants. Beaucoup d’entre vous ont conservé cet usage et cette générosité. D’autres hésitent peut-être ou ne connaissent tout simplement pas cet usage. Nous nous dépensons sans réserve et avec joie à votre service. Il est donc nullement question de demander une quelconque rémunération. Sachez que votre don est remis au prêtre mais versé à la Maison St Maurice qui a la charge d’entretenir ses prêtres en assurant chaque mois leur traitement (155 euros) et leurs indemnités kilométriques (350 euros pour 1000 km). Pour tout renseignement complémentaire, n’hésitez pas à nous en parler simplement.
Quelques citations :
Code de droit canonique de l’Eglise catholique (droit interne à l’Eglise) :
« Les fidèles sont tenus par l’obligation de subvenir aux besoins de l’Eglise afin qu’elle dispose de ce qui est nécessaire au culte divin, aux œuvres d’apostolat et de charité et à l’honnête subsistance de ses ministres » (Code de droit canonique, canon 222 § 1)
Ecriture Sainte (1ère épître de St Paul aux corinthiens 9, 5-14) :
« N’avons-nous pas le droit de manger et de boire? Ou bien sommes-nous les seuls, Barnabé et moi, qui n’ayons pas le droit de ne point travailler? Qui a jamais porté les armes à ses propres frais? Qui est-ce qui plante une vigne pour n’en pas manger le fruit? Qui est-ce qui fait paître un troupeau, sans se nourrir de son lait? Est-ce selon l’homme que je dis ces choses, et la Loi ne les dit-elle pas aussi? Car il est écrit dans la loi de Moïse: » Tu ne muselleras pas la bouche du boeuf qui foule le grain. » Dieu se met-il en peine des boeufs? N’est-ce pas absolument à cause de nous qu’il parle ainsi? Oui, c’est à cause de nous que cela a été écrit; celui qui laboure doit labourer avec espérance, et celui qui foule le grain doit le fouler dans l’espérance d’y avoir part. Ne savez-vous pas que ceux qui remplissent les fonctions sacrées vivent du temple, et que ceux qui servent à l’autel ont part à l’autel? De même aussi le Seigneur a ordonné à ceux qui annoncent l’Evangile de vivre de l’Evangile. Si nous avons semé parmi vous les biens spirituels, est-ce une si grosse affaire que nous moissonnions de vos biens matériels?
1ère épître de St Paul à Timothée 5, 17-18 :
« Que les anciens qui s’acquittent bien de la présidence soient jugés dignes d’être doublement rémunérés, principalement ceux qui peinent à la parole et à l’enseignement, car il est dit : L’ouvrier a droit à son salaire. »